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Archive for octobre, 2019

Le démon du jeu

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Lorsque j’étais môme, je n’aimais rien tant que les jeux vidéo. Il a fallu tanner mes parents pendants des mois, mais j’ai fini par obtenir à Noël ma une Master System, et passé mes soirées sur Streets of rage. Je me souviens que j’ai enchaîné avec la N64, puis la PS1 première du nom. Puis je suis passé à autre chose : j’ai trouvé un boulot, j’ai eu des mioches, et je suis passé à autre chose. Néanmoins, la semaine dernière, l’on m’a offert l’occasion de revenir à mes anciens amours. J’ai en effet vécu un incentive où l’on m’a proposé de participer à une animation carrément inhabituelle : un championnat de jeux vidéo. Et même si nous avons pu tester pas mal d’activités pendant cet incentive, c’est de loin le moment qui m’a comblé. D’entrée de jeu, j’ai été impressionné par la révolution technique qui a eu lieu depuis que j’ai délaissé ma manette. Le rendu est tout simplement sublime ! De nos jours, on a comme la sensation d’être dans un film, tellement l’ensemble est réaliste. C’est totalement renversant. Des fois, on pourrait croire que les scènes ont été filmées et non conçues avec des logiciels. Les visages des personnages sont rendus à la perfection. Au début du championnat, j’ai été confondu devant le tempo des jeux récents. Tout va trop vite, on n’a jamais le temps de se reposer. D’autant que les jeux ne sont plus solo : l’on n’a plus seulement comme ennemis des IA forcément limitées. Pour résumer, la difficulté s’en ressent. j’ai eu bien du mal à aller me coucher. Et beaucoup d’autres participants aussi, d’ailleurs !
Au fait, je vous invite à jeter un un coup d’oeil au site de l’agence qui a géré cet incentive, si vous désirez vous faire votre propre idée sur la question.

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octobre 22nd, 2019 at 9:42

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Mon baptême de vol acrobatique

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Dimanche dernier, par une froide journée, je me suis levé au petit jour. Cela faisait un moment que j’attendais ce jour. Car ce jour-là, je m’apprêtais à faire quelque chose d’assez unique : ce jour-là, j’allais réaliser mon baptême de voltige aérienne à Metz ! Une heure plus tard, nous sommes donc partis en famille pour rejoindre l’aéroclub, où j’ai rencontré Nicolasun pilote chevronné avec plus de 5000 heures à son actif. Deux autres participants étaient là comme moi pour faire ce vol. Eux aussi étaient venus accompagnés de leur famille, et cela commençait à faire du monde. Une fois que tout le monde a pris place, Julien a alors joué les professeurs. Il nous a fait un court briefing bien rôdé, durant lequel il nous a détaillé les figures que nous allions être amenés à faire et les sensations auxquelles nous allions être soumis. J’ai commencé à avoir le trac. Comme nous devions passer dans l’ordre où nous étions arrivés : j’étais donc le dernier à passer J’ai donc vu l’avion embarquer avec son premier passager embarquer à bord du petit appareil et prendre les airs. En voyant comment l’appareil se retourne dans tous les sens, mon aîné me jette un regard angoissé. Le moment venu, je vais enfiler mon parachute. J’ai à peine le temps de me préparer que l’avion libère son passager précédent. Cette fois, le pilote m’attend. Je grimpe dans l’avion en essayant de ne pas trop penser à l’air malade qu’avait le passager qui m’a précédé. Nicolas me répète les consignes de sécurité. L’heure est arrivé, je suis face à la piste. Matthieu met les gaz, le bruit est impressionnant Une fois en l’air, je repense au briefing, et je sais la première figure du programme ! Puis Julien me signale qu’on va commencer la première figure. Et là, quand ça commence, c’est le paradis. Les sensations sont incroyables ! La terre bascule dans tous les sens, mais ce n’est pas aussi violent que ce que j’imaginais. Mais ce n’est là qu’un début, car les figures s’enchaînent sans le moindre répit : vrilles, cloche, looping : la totale ! Au total, 10 minutes de voltige. Lorsque je suis descendu carrément blafard de l’avion, mais j’ai adoré ce baptême de voltige ! A retrouver sur voltige aérienne

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octobre 17th, 2019 at 12:47

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Ecosse: dire la vérité sur le Brexit et l’indépendance

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Rester au Royaume-Uni est le meilleur espoir d’améliorer les services publics comme les écoles et les hôpitaux, tandis que l’indépendance ou «Scexit» signifierait une frontière difficile nous séparant de la famille et des amis en Angleterre, écrit Pamela Nash de Scotland in Union. Les discours des dirigeants lors des conférences politiques des partis constituent une occasion unique de parler à la nation. Avec la couverture garantie de la télévision et des journaux, les politiciens ont le moment de s’adresser au-delà de la salle de conférence. Cette semaine, Nicola Sturgeon a complètement échoué à ce défi. Elle n’a parlé qu’aux militants de l’auditorium d’Aberdeen et aux nationalistes intransigeants de son pays, concentrés sur son obsession de briser le Royaume-Uni. C’était de la rhétorique sans aucune substance. Cela dit que l’indépendance a été mentionnée plus de 20 fois, alors que l’éducation n’a été mentionnée que deux fois en 45 minutes. L’éducation, rappelons-le, était censée être la première priorité du premier ministre. Personne ne peut maintenant avoir le moindre doute: sa priorité sera toujours de créer des divisions. C’est, après tout, en quoi consiste le nationalisme: ériger des barrières entre les personnes et les communautés. Les politiciens du SNP ont toujours voulu créer des barrières sociales et culturelles avec l’Angleterre. Nous savons maintenant qu’ils sont également prêts à construire une barrière physique – une frontière dure à Gretna, à Berwick et partout où l’Ecosse rencontre l’Angleterre, où la liberté de circulation est libre depuis des siècles. Ce scénario dévastateur se produirait si Mme Sturgeon réalisait son objectif d’inclure une Écosse séparée dans l’UE, ce qui entraînerait une divergence économique par rapport à un Royaume-Uni post-Brexit. La frontière avec l’Angleterre deviendrait également la frontière de l’UE et Bruxelles exigerait des vérifications sur ce qui arrivait et ce qui sortait. Je trouve profondément navrant que le SNP soit si indifférent face à la possibilité d’une barrière entre nos amis, nos familles et nos voisins en Angleterre. Je ne veux pas d’une frontière dure entre moi et ma famille à Manchester, et il en va de même pour les millions de personnes qui partagent des liens sociaux à travers le Royaume-Uni. Mais ce n’est pas seulement l’impact émotionnel que nous devrions considérer, c’est aussi l’impact économique. Notre commerce sur le marché intérieur avec le reste du Royaume-Uni représente une économie de 48,9 milliards de livres sterling par an pour l’économie écossaise, ce qui équivaut à ce qu’il en coûte de faire fonctionner l’ensemble de notre NHS pendant environ trois ans. Il représente 60% de toutes les exportations, ce qui réduit considérablement nos échanges commerciaux avec l’UE. Les camions, les fourgonnettes et les trains sillonnent sans entraves l’Écosse et l’Angleterre, des milliers d’entreprises étant tributaires du marché unique britannique. Pourquoi mettre tout cela en danger avec Scexit?

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octobre 17th, 2019 at 8:45

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La Syrie s’associe avec les Kurdes contre Erdogan

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Les pressions du gouvernement syrien ont commencé à se rendre dans le nord de la nation, temps après que le gouvernement a consenti à aider les facteurs kurdes aux prises avec la Turquie. Les médias d’Etat syriens affirment que le gouvernement se rendait à Ain Issa lundi, à 30 km au sud de votre frontière turque. La vente a émergé à la suite des Etats-Unis, principal allié des Kurdes, a annoncé que ses troupes resteraient du nord de la Syrie. La Turquie a lancé une offensive dans la région l’autre jour, dans le but de forcer les forces kurdes à quitter la frontière. Des endroits situés sous le commandement des causes démocratiques syriennes (SDF) guidées par les Kurdes sont apparus sous un bombardement important au-dessus du week-end, la volaille produisant des bénéfices dans deux villes frontalières importantes. Des dizaines de civils et de combattants ont été tués des deux côtés. Les Etats-Unis ont annoncé samedi qu’ils s’apprêtaient absolument à évacuer leurs 1 000 soldats restants du nord de la Syrie. L’offensive turque et le retrait des Etats-Unis ont provoqué un tollé international, les FDS ayant été les principaux alliés des pays occidentaux lors du conflit contre le parti «État islamique» en Syrie. Des craintes ont été exprimées concernant une résurgence réalisable dans la classe malgré l’instabilité. Dimanche, des représentants kurdes ont déclaré que près de 800 proches des dangereux membres de l’Etat islamique se sont échappés d’un camp situé à Ain Issa, le lieu où l’armée syrienne serait récemment arrivée. Poultry considère comme terroristes certains aspects des équipes kurdes et affirme vouloir les repousser dans un « secteur protégé » atteignant 32 km en Syrie. Le directeur Recep Tayyip Erdogan espère pouvoir réinstaller jusqu’à deux mille réfugiés syriens actuellement dans le secteur de la volaille. Certains d’entre eux ne sont généralement pas kurdes et les experts ont averti que cela pourrait conduire à une purification ethnique de la population humaine kurde du quartier. L’administration dirigée par les Kurdes en Haute-Syrie a annoncé qu’elle avait obtenu un accord le week-end. L’engagement permet à l’armée de se déployer le long des postes frontières gérés par les poussées kurdes. Pour le moment, ils ne sont peut-être pas utilisés par Tal Abyad et Ras al-Ain exactement là où Poultry a ciblé leurs efforts. Ce déploiement, a-t-il ajouté, aiderait les FDS à « repousser cette agression et à libérer les zones unies par l’intermédiaire de l’armée turque avec ses mercenaires employés ». Les autorités amenées par les Kurdes exigent également qu’elles restent en politique et conservent leurs achats dans votre communauté.

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octobre 14th, 2019 at 1:49

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Sans moteur

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Dehors, tout le monde est encore couché. Nous nous rendons en un lieu à l’écart de la ville et rencontrons les aérostiers. Dans le silence, nous observons notre aérostier tout mettre en place. Il envoie de l’air froid dans un immense tissu, puis finit de le gonfler à l’aide d’un brûleur. Le ballon prend lentement forme. Nous n’allons pas tarder à pouvoir embarquer. Il y en a eu, du suspense, avant que nous soyions en mesure de réaliser ce baptême insolite. C’est qu’un vol en ballon requiert une météo rigoureuse : pas de risque de pluie, un vent pas trop fort, un temps pas trop chaud… C’est pourquoi notre vol a été repoussé à trois reprises. Nous commencions à croire qu’on ne le ferait jamais. Quand le ballon est finalement paré à décoller, nous prenons place à bord. Trois autres couples participent à ce vol. Une fois que tout notre groupe a embarqué, c’est le signal du départ. L’envol se fait sans le plus petit heurt. Si je n’avais pas regardé en direction du sol, je ne l’aurais probablement pas senti. En terme de sensations, je découvre que je n’ai pas le vertige. Devant le monde qui s’étend sous nos pieds, nous restons silencieux. Hormis le bruit du brûleur qui crachote parfois, c’est le calme absolu. Pourtant, le silence n’est pas vide. Cette sortie dans les airs. Si loin du monde réel, on a la sensation que les problèmes n’ont pu nous suivre dans la nacelle. C’est jouissif. Au bout d’une heure, le moment est venu de trouver un coin pour atterrir. Notre atterrissage est un peu plus violent que l’envol et nous nous accrochons à la nacelle. Nous avons regagné la terre ferme, mais chacun semble encore avoir l’esprit dans les nuages. Si ce vol a fait des émules, je vous invite à voir le site où je l’ai trouvé de bapteme en montgolfière

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octobre 7th, 2019 at 3:10

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Dépoussiérer le management

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Quand on pense innovation, on pense aussitôt aux innovations technologiques. Ce n’est pas un hasard que les classements des entreprises innovantes sont fondés sur le nombre de brevets déposés. Et, en cela, la France est l’un pays des plus innovants au monde). Mais il est nettement plus rare qu’on aborde la question de l’innovation managériale. La semaine dernière, j’ai participé à un symposium à la ville sur le thème du management.n des intervenants nous a fait part de 3 choix de management unique assez attrayants,, et je voulais les partager avec vous. En France, Air France a compris et accepté) que l’une des principales causes d’accidents et d’incidents était d’origine humaineEtant donné les conséquences, l’entreprise a fait le choix d’encourager ses salariés à communiquer librement leurs fautes et souligner tout dysfonctionnementEvidemment, elle a promise de ne pas pratiquer de pénalité si les fautes étaient confiées et assumées. La seule sanction prévue touche les collaborateurs qui n’auraient pas signalé leurs erreurs.
En France, chez Poult, afin de surmonter une situation financière alarmante en 2007, les employés ont décidé de s’affranchir de certaines missions support (gestion du temps, logistique…), de se les dispatcher (en plus de leurs missions de manière à se focaliser sur la production de valeur ajoutée. Le reporting a été simplifié et chacun peut explorer de nouvelles idées et de les proposeren toute liberté. En France, chez Orange (seul opérateur qui n’a pas été impacté par la vague Free – hasard ou coïncidence ?), les collaborateurs sont invités à exposer librement leurs idées via un système d’innovation sociale nommé IdClic. Le processus permet à n’importe quel salarié, quel que soit son statut, son ancienneté ou son métier, de déposer une idée sur une plateforme d’engagement. L’idée est étudiée par des experts volontaires (environ 5000). Si elle n’est pas archivée, elle fait l’objet d’une étude de faisabilité avec une idée nette des gains. Une fois mise en oeuvre, elle peut être ensuite étendue dans tout le pays. Le collaborateur se voit allouer des points virtuels qu’il peut utiliser dans un magasin dédié. Depuis 2007, un tiers des employés ont déposé quelques 122000 idées. 10 % d’entre elles ont au final été mises en oeuvre, ce qui a généré d’énormes économies qui n’auraient pu être occasionnées autrement.
Ce séminaire à la ville m’a révélé que l’innovation ne se limite pas à la technologie.

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octobre 1st, 2019 at 4:36

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