Archive for mai, 2012
Aviateur des temps modernes
Un aviateur de la chasse participe avec des avions dotés d’armement offensifs à la tactique de force de frappe. La jonction des chasseurs bombardiers et des bateaux de guerre renforce la force de commandement de l’état. Le pilote de chasse collabore aussi à la protection des personnes contre la insécurité des airs. Généralement huit et quinze avions intercepteur sont apprétés continuellement à intercepter promptement tout aéronef non identifié. Pareillement, le pilote de chasse est un acteur clef des manœuvres étrangères mobilisées par le pays. Toute la mission qui lui est donnée le pilote assume sa tâche, s’assure que son appareil est efficient, maîtrise son jet pour une mission d’intervention. Une fois à l’aérogare, le chasseur produit un compte-rendu de sa charge à ses supérieurs. Chaque jour le pilote d’aéronef se consacre à l’exercice militaire. Sa mission requiert une large aptitude d’ajustement aux nouveaux aéroplanes qu’il doit maîtriser. Les pilotes militaires sont entrainés par leur escadron d’appartenance, leur apprentissage assmilant les caractéristiques liées à leur dépendance à une unité et celles assujeties à leurs avions de chasse et charges. Une portion de cet apprentissage se déroule sur simulateur de vol. Les pilotes doivent effectuer un ratio minimum d’heures de vol par an afin de maintenir leurs qualifications. Ceux qui ne voudront pas devenir pilotes peuvent faire un cadeau insolite en réalisant un baptême en avion de chasse. Eprouvez les perceptions d’un pilote d’aéronef. Ressentez les sensations durant le baptême de l’air en avion de chasse.
Fin de la faim à Nantes
Les grévistes de la faim qui s’opposent au projet de futur aéroport nantais de Notre-Dame-des-Landes ont annoncé mardi mettre fin à leur mouvement après l’annonce par les collectivités locales d’une demande de suspension des expulsions des propriétaires et des exploitants. Michel Tarin, 64 ans, qui en était à son 28e jour de grève de la faim et a été rejoint par cinq autre jeûneurs depuis le 27 avril, a expliqué ne pas vouloir « quitter ces terres tant qu’on n’a pas l’assurance de pas gagner en justice ». Les grévistes demandaient la suspension des expropriations, des propriétaires comme des exploitants, dans l’attente de l’issue de plusieurs recours en justice qu’ils ont déposés contre le projet d’aéroport. « Nous arrêtons notre mouvement suite aux propositions du conseil général de Loire-Atlantique, du conseil régional des Pays de la Loire et de la mairie de Nantes qu’il n’y pas d’expulsions avant la fin des recours en justice engagés à la date du 4 mai », a déclaré un porte-parole, Cyril Bouligand.