Le démon du jeu
Lorsque j’étais môme, je n’aimais rien tant que les jeux vidéo. Il a fallu tanner mes parents pendants des mois, mais j’ai fini par obtenir à Noël ma une Master System, et passé mes soirées sur Streets of rage. Je me souviens que j’ai enchaîné avec la N64, puis la PS1 première du nom. Puis je suis passé à autre chose : j’ai trouvé un boulot, j’ai eu des mioches, et je suis passé à autre chose. Néanmoins, la semaine dernière, l’on m’a offert l’occasion de revenir à mes anciens amours. J’ai en effet vécu un incentive où l’on m’a proposé de participer à une animation carrément inhabituelle : un championnat de jeux vidéo. Et même si nous avons pu tester pas mal d’activités pendant cet incentive, c’est de loin le moment qui m’a comblé. D’entrée de jeu, j’ai été impressionné par la révolution technique qui a eu lieu depuis que j’ai délaissé ma manette. Le rendu est tout simplement sublime ! De nos jours, on a comme la sensation d’être dans un film, tellement l’ensemble est réaliste. C’est totalement renversant. Des fois, on pourrait croire que les scènes ont été filmées et non conçues avec des logiciels. Les visages des personnages sont rendus à la perfection. Au début du championnat, j’ai été confondu devant le tempo des jeux récents. Tout va trop vite, on n’a jamais le temps de se reposer. D’autant que les jeux ne sont plus solo : l’on n’a plus seulement comme ennemis des IA forcément limitées. Pour résumer, la difficulté s’en ressent. j’ai eu bien du mal à aller me coucher. Et beaucoup d’autres participants aussi, d’ailleurs !
Au fait, je vous invite à jeter un un coup d’oeil au site de l’agence qui a géré cet incentive, si vous désirez vous faire votre propre idée sur la question.