Archive for the ‘médical’ Category
Voyage en philosophie américaine
Nous voulons réfléchir sur la place d’une approche d’éthique appliquée dans l’enseignement de la philosophie éthique au collégial et sur ses résultats, disions-nous en introduction. Mais nous désirons le faire d’abord dans un contexte plus large : celui des finalités de l’éducation8. C’est-à-dire qu’il nous semble nécessaire de replacer toute entreprise d’enseignement ou toute réflexion sur l’enseignement dans une perspective philosophique fondatrice : que veut-on faire ou que fait-on vraiment quand on éduque? En somme, qu’est-ce qu’éduquer? Ensuite seulement, nous pourrons nous interroger sur la contribution de chacun des acteurs, sur les méthodes les plus susceptibles d’atteindre ces buts, sur la contribution particulière d’un cours de philosophie éthique ou d’une approche d’éthique appliquée. La discussion s’enracine ainsi dans une réflexion sur les buts de l’éducation. Et l’on découvre rapidement que dans la tradition française, peu importe les auteurs consultés, l’accord paraît unanime quant à l’énoncé suivant: ce que vise avant tout l’éducation, c’est de former ou, plutôt, de contribuer à la formation d’un être humain; non pas d’abord former un travailleur ou un citoyen, mais l’être humain lui-même, pour lui-même. La tâche principale de l’éducation «[…] est avant tout d’aider au développement dynamique par lequel l’homme se forme lui-même à être un homme […]», disait déjà Jacques Maritain. Olivier Reboul ne pense pas autrement quand il affirme que «l’éducation, dans tous les domaines, depuis la naissance jusqu’au dernier jour, c’est d’apprendre à être homme». Il en va de même pour Louis Brunet et Lucien Morin qui confirment que «voilà pourquoi le dictionnaire voit juste en définissant l’éducation comme l’activité de former quelqu’un, qui n’est qu’une autre manière de dire que la fin de l’éducation, c’est le développement et la formation d’un être humain». Selon eux, toute la pédagogie moderne est sans compromis là-dessus: «[…] l’éducation est une activité qui a pour fin d’aider quelqu’un à se développer et à se former». Le but fondamental et les buts secondaires de l’éducation Au moment où il est beaucoup question de formation à la citoyenneté et où même l’enseignement de l’éthique doit s’inscrire dans une optique de formation «propre au programme» d’études de l’élève, il vaut la peine de rappeler les distinctions faites par Maritain et Reboul qui nous aident à éclairer cette problématique. Pour le premier, l’éducation comporte des buts essentiels de deux ordres différents: le fondamental, celui qui demeure et ne change pas, et les secondaires, ceux qui varient et doivent être adaptés aux époques historiques. Aider quelqu’un à atteindre sa pleine formation d’homme constitue le seul but du premier genre, alors que «[…] transmettre l’héritage d’une culture d’une aire de civilisation donnée, préparer à la vie sociale et à un comportement de bon citoyen, procurer l’équipement mental exigé pour remplir une fonction particulière dans le tout social, pour s’acquitter des responsabilités familiales, pour gagner sa vie» appartiennent au second genre. Selon cet auteur, «l’essence de l’éducation ne consiste pas en effet à adapter un futur citoyen aux conditions et interactions de la vie sociale, mais d’abord à faire un homme, — et préparer par cela même un citoyen». Quant à Reboul, ne nous tientil pas un langage semblable lorsque placé devant le dilemme d’une éducation «pour la société ou pour l’enfant», il affirme qu’ il s’agit peut-être d’une fausse alternative, dont chaque terme ne vaut que par les défauts de l’autre. Car, entre l’individu et la (c’est-à-dire une) société, il existe un troisième terme, qui est l’humanité. Et l’éducation elle-même en témoigne. On n’éduque pas l’enfant pour qu’il le reste. Mais pas non plus pour en faire «un travailleur et un citoyen». On l’éduque pour en faire un homme, c’est-à-dire un être capable de communiquer et de communier avec les oeuvres et les personnes humaines […] Ainsi, il nous semble que la fin de l’éducation est de permettre à chacun d’accomplir sa nature au sein d’une culture qui soit vraiment humaine. Si cette fin paraît utopique, elle est la seule qui préserve l’éducation du laisser-faire comme de l’endoctrinement. À son avis, cette visée pèse si lourd qu’elle donne lieu au principal critère d’une éducation réussie: «[…] elle est réussie si elle est inachevée, si elle donne au sujet les moyens et le désir de la poursuivre, d’en faire une auto-éducation. Car on arrive peut-être un jour à être ingénieur, ou médecin, ou bon citoyen. On n’en finit jamais de devenir un homme». Source: voyage incentive USA
Vérité sur la taille du pénis
Voilà enfin une étude à prendre au sérieux, une bonne fois pour toute, et pour clore le débat. C’est l’éternelle question qui hante les mâles du monde entier: la longueur du pénis. Mais rassurez-vous, messieurs, une nouvelle étude du King’s College London, publiée dans le BJU International, prétend nous informer sur la taille « normale » du sexe masculin, et les chiffres se veulent rassurants. Afin de répondre à cette importantissme question, les médecins britanniques ont utilisé 20 études, qui portaient sur plus de 15.500 mâles dont le pénis avait été mesuré selon une procédure standardisée par des professionnels de santé. Mais trêve de paroles, place aux chiffres et à la vérité du terrain : – Au repos, la longueur moyenne du pénis serait de 9,16 centimètres – En érection, elle serait de 13,12 centimètres. Autre donnée étudiée, la circonférence. Elle est de 9,31 centimères et « culmine » à 11,66 centimètres en érection. Afin de tordre le cou à une légende persistante, les scientifiques précisent que la corrélation serait relativement « faible » entre la taille du sexe et celle du sujet. Toutefois, impossible d’en tirer des conclusions sur d’éventuelles différences de tailles du pénis selon les origines. Les chiffres proviennent en majorité d’études portant sur des hommes caucasiens, ou Européens, et du Moyen-Orient. Certaines parties du monde ne sont donc pas representées. Au-delà de son indéniable attrait scientifique, les auteurs de l’étude estiment que cette dernière va pouvoir rassurer les hommes. Les mâles, inquiets de leur taille, vont pouvoir constater que leur pénis est dans la « fourchette normale ».
La lavande, remède miracle
Le parfum qui soigne. C’est presque un remède de grand-mère, mais j’ai découvert que la lavande avait des vertus, notamment pour nous faire du bien. En effet, les fleurs de lavande sont surtout reconnues pour leurs vertus sédatives, digestives et anxiolytiques. En infusion ou ajoutées à l’eau du bain, elles permettront de lutter contre les bobos du quotidien. Je vais rentrer dans la technique. La lavande renferme une huile essentielle riche en monoterpènes. Cette huile possède de puissantes propriétés antimicrobiennes et antiseptiques. Elle est surtout efficace par son action hypotensive et ses effets sédatifs agissant sur le système nerveux central. Sans la qualifier de remède miracle, la lavande est prescrite en infusion en cas de nervosité, de troubles du sommeil, pour combattre les manques d’appétit ou les problèmes intestinaux d’origine nerveuse. Macérée dans de l’alcool, en application locale, elle permet de lutter contre les infections cutanées et les piqûres d’insectes. Enfin, en balnéothérapie, elle agit sur les problèmes circulatoires. La note « fleurie » qu’offre l’huile essentielle de lavande est très recherchée par les grands parfumeurs. Ils ne sont pas les seuls demandeurs car la lavande est aussi utilisée pour divers produits cosmétiques, d’hygiène et de beauté, parfumerie comprise. Aujourd’hui la note lavande est utilisée en France comme représentation de la propreté. Mais les produits industriels (lessives, détergents, produits d’entretien, désodorisants.) sont parfumés au lavandin, son huile essentielle étant moins chère et produite en plus grande quantité. Heureusement la note lavande n’est pas confinée dans l’univers domestique : pour un large public signifie toujours, vacances, soleil, retour aux sources, authenticité, bien-être. Mais il ne faut pas oublier ses vertus que l’on remarqua il y a des siècles. On remarquera tout d’abord que dans l’Antiquité, le parfum et le médicament étaient associés : sentir bon = bonne santé. Les Romains utilisaient l’essence de Stoechas et d’aspic pour parfumer leur bain et laver leur linge. Au Moyen Age, les pouvoirs désinfectants de la lavande sont associés à d’autres plantes pour lutter contre les épidémies de peste. Son parfum continue d’être très apprécié car on pensait que la maladie se propageait par l’odeur et l’on pratiquait des fumigations pour enrayer la contagion. J’aime bien la lavande, et si vous souhaitez en savoir plus sur les vertus miracles de cette plante, je vous invite à découvrir le site qui vous donnera pleins d’infos : création de parfum.
La 3D pour guérir de phobies
Le monde virtuel à la rescousse des phobies. Peur des araignées, peur des hauteurs, peur en avion, la 3D peut vous aider. Jusqu’à très récemment, l’immersion des individus dans un monde virtuel a souvent été considérée comme dangereuse voire néfaste si l’on se fie aux nombreux discours et études scientifiques concernant les effets potentiels de certains jeux vidéos sur la personnalité du joueur. Ils amèneraient par un phénomène d’identification à reproduire dans le réel les comportements violents ou malsains vus ou « vécus » dans le virtuel.
A l’inverse, le monde scientifique et médical a lui su tirer parti de cette confusion entre monde réel et virtuel qu’est capable d’induire un système informatique de pointe, ceci à des fins thérapeutiques. Nous prendrons l’adjectif thérapeutique dans un sens large, à savoir tout ce qui peut aider le patient à guérir ses maux quels qu’ils soient, de façon directe ou indirecte.
La réalité virtuelle n’était au départ pas destinée à être utilisée à des fins thérapeutiques. Le casque HMD permettant la vue en 3D d’une scène a été créé en 1968, et les gants Dataglove, équipés de capteurs, ont été eux inventés en 1977. Entre ces deux dates, le casque a surtout été utilisé à des fins artistiques.
Ce n’est que dans les années 1980 que l’équipement a commencé à être utilisé par la NASA en tant qu’outil d’entraînement et par les militaires pour simuler respectivement la conduite de navettes, de tanks et d’hélicoptères. Dès lors, et surtout à partir du début des années 1990, le champ des applications possibles s’est progressivement élargi vers le médical. Les simulateurs de vols ont été généralisés et ont ainsi pu servir à pallier les peurs de l’avion.
D’après des études récentes, les résultats obtenus à l’aide des TRV sont similaires à ceux des thérapies traditionnelles. Lors des séances on peut même parfois noter des « cybermalaises », preuves de l’impact de la thérapie sur le patient. Par ailleurs, les jeunes patients, ainsi que les patients réfractaires aux thérapies traditionnelles, sont très réceptifs à ce type de thérapies qui peuvent sembler plus ludiques et donc moins stigmatisantes.
Plus d’un Français sur dix a peur de monter dans un avion. Cela est du principalement au fait que l’avion est un engin techniquement inconnu pour les passagers, de taille importante, et hors du contact avec la terre ferme. La plupart du temps, le décollage et l’atterrissage sont les moments du vol les plus pénibles pour ces phobiques de l’air.
Pour guérir cela, le patient peut suivre un stage anti stress pour vaincre sa peur de l’avion. Il est placé en situation de pilote dans un simulateur de vol professionnel, assisté d’un copilote, également psychologue, qui lui explique toutes les manœuvres de vol et les fonctions aérodynamiques de l’avion. L’objectif est de permettre la compréhension afin de rassurer.
Cette technique s’appuie sur les modèles de simulation de vol qui ont déjà fait leurs preuves sur les pilotes.