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Vous recherchez un coin de paradis pour passer vos vacances ? Partez pour le Wilderness Lodge en Nouvelle Zélande. Les crêtes enneigées des Alpes néo-zélandaises se dressent majestueusement à l’horizon. À leur pied, le fleuve Waimakariri s’enroule comme un ruban argenté. Des vues comme celles-ci font du Wilderness Lodge un refuge écologique hors du commun. Construit en 1996, cet élégant bâtiment en bois a été conçu pour se fondre dans une clairière naturelle de la forêt. Les chambres du pavillon Mountain View sont décorées avec modestie. Celles des Alpine Lodges constituent un hébergement plus luxueux. Les pavillons sont blottis dans une forêt de hêtres, et disposent de chambres chauffées au gaz et de baignoires balnéo avec vue sur la montagne. Situé dans une réserve naturelle de 2 400 ha, l’hôtel est aussi une ferme-élevage de moutons. Les propriétaires, Anne et Gerry, se passionnent pour la sauvegarde des ressources naturelles et possèdent aussi le Wilderness Lodge situé plus au sud, près du lac Moeraki. L’endroit est un paradis pour les randonneurs avec sa myriade de sentiers à explorer. Profitez de l’air frais, de la forêt préservée et gardez les yeux bien ouverts afin d’apercevoir des méliphages carillonneurs et des kéas. Les vacanciers ont le choix entre un grand nombre d’excursions. Ils peuvent se promener en canoë sur le lac Pearson voisin ou aller observer les étoiles pour tenter de discerner la Croix du Sud. Il est aussi possible d’explorer le parc national d’Arthur’s Pass voisin. Le paysage de la Nouvelle-Zélande est si unique et varié que vous pouvez vous détendre à la plage le matin, faire du trekking dans la forêt tropicale l’après-midi, escalader la paroi glacée d’une grotte le jour suivant, aller pêcher la truite dans les eaux cristallines des lacs ou pique-niquer sur les sommets montagneux, au milieu des fleurs alpines. Source : Les plus beaux hôtels du monde.

Je voudrais faire un petit billet pour remercier une société qui nous a fait plonger dans une culture et une histoire riche de sens. Je m’explique, je suis parti en Afrique du Sud récemment, et malgré toute l’agitation qui y règne encore aujourd’hui suite au décès de Mandela, nous avons pu revivre, notamment grâce à cette agence spécialisée, l’un des grands moments de la démocratie sud-africaine, ce moment qui a fait basculer le pays dans la démocratie. Le régime des Blancs prit finalement fin en Afrique du Sud, non dans une révolution sanglante mais dans le calme, au sein des isoloirs. Les négociations entre Frederik Willem de Klerk, le leader du Parti national (NP) et président, et le leader de l’ANC, Nelson Mandela, avaient finalement précipité la démocratie en Afrique du Sud. Une passation de pouvoir pacifique était loin d’être garantie. La population blanche n’apprécia qu’en partie la perspective d’un gouvernement noir majoritaire. Les extrémistes blancs risquaient de prendre les armes, ou un conflit ouvert pouvait se produire entre l’ANC et le Parti de la liberté lnkatha (lFP). Les bureaux de vote restèrent ouverts trois jours, afin que tous puissent s’exprimer. UANC l’emporta, avec plus de douze millions de voix, le NP en obtint près de quatre millions et l’lFP environ deux millions. Un ensemble de petits partis en réunirent quelques milliers chacun. Comme prévu, les trois principaux partis formèrent un gouvernement de coalition d’unité nationale, qui suscita d’immenses attentes. L’Afrique du Sud faisait face à un chômage massif et à de sérieux problèmes de pauvreté et d’inégalités. Les Africains, qui venaient de recevoir le droit de vote, attendaient des élections des améliorations rapides et spectaculaires de leur niveau de vie, en matière de logement, d’emploi et d’éducation. Le nouveau gouvernement ne put répondre à toutes ces attentes, mais il parvint à établir et à maintenir la démocratie. Nous avons pu entrer dans l’histoire notamment grâce à des rencontres avec des politiques de l’époque qui nous ont relaté leur histoire et leur version de cette histoire si forte. C’était passionnant, et cela reste un moment unique dans ma vie. Je tenais donc à remercier l’Agence Séminaire en Afrique du Sud pour cette rencontre magnifique. Suivez le lien pour leur contact.

C’est la rentrée, et avec elle notre première incentive commerciale. Destination l’Australie pour aller voir des restes de dinosaures si nous gagnons. C’est bien. C’est la chaîne des Flinders, un peu comme les Flinstones, mais en Australie. Tout est fait pour que nous bossions. Présentation du lieu : Fascinante par sa beauté farouche et ses célèbres formations géologiques, la chaîne de Flinders, vieille, dit-on, de huit cents millions d’années, abrite des fossiles parmi les plus vieux de la planète. Ces montagnes désertiques, qui commencent à 200 kilomètres au nord d’Adélaïde et s°étendent sur plus de 425 kilomètres, sont renommées pour leurs immenses couches sédimentaires. Elles abritent plus de la moitié des 3 100 plantes indigènes d’Australie et d’innombrables espèces d’oiseaux et de reptiles. En outre, dans le contexte général des déplacements touristiques en Australie, la chaîne est accessible au public et ses paysages les plus stupéfiants sont préservés dans l’enceinte d’un parc national (celui de la chaîne de Flinders). Parmi ceux-ci, le plus impressionnant est Wilpena Pound, amphithéâtre naturel de près de 80 kilomètres carrés, évoquant un monde préhistorique où rôdent encore les dinosaures. A proximité, le Wilpena Pound Resort, seul hôtel du parc, constitue un confortable avant-poste dans ce paysage sauvage. Les logements vont du terrain de camping et des tentes permanentes aux simples chambres d’hôtel ; il y a une jolie piscine et un restaurant où la cuisine australienne moderne est rehaussé des saveurs de la campagne. L’établissement vous aide à planifier vos visites de manière à sortir des sentiers battus. Au nord-ouest du parc, où le désert et les dunes rouges rencontrent la chaîne de Flinders, se trouve Parachilna (« population 7 »). Le minuscule hameau abrite l’hôtel Prairie, un ancien pub datant de 1876, renommé pour ses logements simples mais confortables, et un splendide restaurant proposant un menu étonnamment innovant : imaginez du pâté d’émeu, de la soupe de queue de kangourou et de la tarte au quandong, un fruit qui ressemble à la pêche. En bas de la route, Angorichina Station est un ranch élevant des moutons sur 625 kilomètres carrés dont les propriétaires, depuis quatre générations, accueillent des visiteurs dans une maison en pierre construite vers 1860. Allez-y à la bonne période de l’année et vous pourrez participer à la tonte des moutons. Cela donne envie ? Moi je vais essayer car ce n’est pas tous les jours que l’entreprise nous procure une telle incentive. Je suis preneur à 200%, d’autant que l’opération est réalisée par l’Agence Incentive qui est réputée pour la qualité de ses expériences. Australie, à nous deux !

De retour du Maroc, en séminaire avec mon entreprise, je ne me suis toujours pas remis des beautés des paysages que j’ai vus là-bas. Nous avons eu la chance de faire tout un périple dans le sud du pays, et je reviens avec une richesse de la culture et de l’histoire du pays, en sus des souvenirs et des paysages. Et je ne peux m’empêcher de partager avec vous un bref rappel historique du Maroc, tant nous ne connaissons pas ce pays en réalité. Pour illustrer le Maroc, généralement on préfère présenter ses richesses naturelles aux célèbres trésors des villes impériales où la main des artistes a laissé des témoignages éclatants des dynasties régnantes. Mais l’histoire du Maroc n’a pas commencé avec elles. Ses côtes, partagées entre l’Atlantique et la Méditerranée, avaient attiré des colons depuis l’Antiquité. Sur place vivaient déjà les ancêtres des Berbères. Les Phénicíens furent les premiers à établir des comptoirs sur les côtes où ils pratiquaient des échanges avec les populations de l’intérieur, bien que Carthage régentât la région. Bientôt, cependant, l’influence de Carthage arriva jusqu’au royaume de Mauritanie, composé de différentes tribus berbères. Puis Rome remplaça Carthage et Tingis, la future Tanger, devint même une cité romaine. De cette époque Volubilis est le témoignage le plus important. Les échanges furent nombreux avec la mère-patrie. La province était riche et elle foumit notamment Rome en produits agricoles. Ce fut ensuite le tour des Vandales qui chassèrent l’occupant romain; nombreux furent aussi les juifs qui cherchèrent ici un refuge loin des persécutions des chrétiens. Au VIIème siècle arriva la dernière vague d’envahisseurs, les Arabes, pour qui l’Atlantique allait constituer l’ultime frontière occidentale. Les Berbères se révoltèrent souvent contre l’envahisseur arabe et l’histoire fut souvent sanglante. Le pouvoir berbère alterna avec le pouvoir arabe lui-même déchiré par ses luttes intemes. Puis, pendant près de dix siècles se succédèrent de très nombreuses dynasties. Toujours au nom d’Allah, car même les Berbères avaient été islamisés. Il y eut ainsi principalement les Idrissides, les Fatimídes, les Almoravides, les Mérinides, les Princes saadíens qui ont laissé les superbes tombeaux de Marrakech. On peut comparer leur règne à la Renaissance européenne tant ils feront connaître une explosion de richesses au Maroc. Ils seront chassés par les sévères Alaouites qui, avec Moulay Ismail, prendront Meknès pour capitale. Puis ce sera le XIXème siècle et la colonisation. Face à l’occupant, les tribus, leurs chefs et leurs dissensions se réveilleront. Le 2 mars 1956, l’indépendance du Maroc est proclamée. Je vous invite à voyager au Maroc et à découvrir ce superbe pays, riche de culture, de beauté et de souvenirs. Et si comme moi, vous recherchez une agence pour organiser votre voyage au Maroc dans un cadre d’entreprise, je vous recommande celle-ci : http://www.voyage-incentive-maroc.com