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En priant avec Trump
Eric Trump n’est pas le seul membre réel de sa famille à dépendre de White Coloured, une télévangéliste commune de 50 ans, qui croit que la prière d’intercession peut avoir un impact immédiat sur les activités de formation. Juste après avoir remarqué Eric, elle s’est rendue dans sa chambre de l’hôtel Cleveland de la campagne Trump, dans laquelle elle a consacré 4 heures de plus à prier Donald Trump alors qu’il se préparait pour son discours de conférence parfait. Puis, à l’invitation du candidat, elle a obtenu le candidat républicain, son meilleur mari 10 ans et le garçon de Melania, âgé de trois ans, pour un autre cercle de prière avec leur place. «Je garde à l’esprit de demander au Seigneur de lui présenter ses paroles avec son esprit, ainsi que de l’utiliser. Cela cesserait d’être ses phrases, mais les termes de Dieu, il ne ferait que comprendre le Saint-Esprit», se souvint White. au cours d’un entretien d’embauche avec TIME, semaines après. « J’ai probablement [intercédé] contre un complot, un programme ou un outil ennemi pour obstruer le plan ou même la volonté de Lord. » Au cours de la soirée, Bright White monta dans le véhicule de Trump avec ses proches pour le marché. Mais la relation de Trump avec Bright White n’est pas une transformation immédiate; il est introduit dans ce monde de cour plus longue. Les deux acquis en 2002, après qu’il ait regardé White-color fournir un sermon télévisé sur la valeur de la perspective. Passionné de télévangélistes de longue date, David Jeremiah, Jimmy Swaggart et Billy Graham, il est connu sous le nom de Bright White et se présente. Si elle voulait assister à la finale de la première saison de son émission de téléréalité, The Apprentice, il a demandé plus tard. Avant l’enregistrement, elle a prié pour la distribution et l’équipe. Au cours des 10 prochaines années, Bright White a enduré un certain nombre de difficultés dans la communauté, notamment le divorce de son deuxième partenaire, la chute de son ministère, le décès de sa belle-fille d’un cancer et un You.S. Examen par le Comité sénatorial des finances de la réputation d’exonération d’impôts de son ministère, qui a finalement été réduite. Maintenant, elle vend des opportunités au New Destiny Christian Center, un autre membre de 10 000 membres, une église non confessionnelle à Orlando qui penche en avant vers la Pentecôte. Au fil des ans, sa compagnie avec Trump s’est développée. Elle a commandé un appartement dans le 502 Garez votre voiture en construction, et chaque fois qu’elle gérait des études bibliques à New York, Trump se rendait parfois à elle. Il a publiquement reconnu sa réserve de motivation-style de vie 2007 You are Everything That! et après l’avoir emmenée déjeuner chez Jean-Georges, étoile du 3 étoiles au Guide Michelin, dans la Trump Tower, puis elle a décidé de s’inscrire à un cours sur les manières sociales. Lorsque Trump envisagea de se présenter à Leader en 2011, il lui demanda de réunir des ministres. Juste après avoir prié les uns avec les autres, Trump a demandé à Bright White ce qu’elle pensait du bon moment. «J’ai déclaré:« Je ne pense jamais que le moment est venu », se souvient-elle. « Il a expliqué: » Je ne fais pas les deux. «
Non à l’avortement, oui au port d’armes…
« Non à l’avortement, oui au port d’armes ». Les débats aux États-Unis peuvent être déroutant pour les Européens. Ici des anti-avortement « pro-life » devant la Cour suprême des Etats-Unis, le 5 octobre 2015. »Non à l’avortement, oui au port d’armes ». Les débats aux États-Unis peuvent être déroutant pour les Européens. Ici des anti-avortement « pro-life » devant la Cour suprême des Etats-Unis, le 5 octobre 2015. Sur Instagram, un illustre anonyme américain propose d’imposer les mêmes lois aux hommes voulant acheter une arme qu’aux femmes désirant avorter. Le résultat est édifiant. « Et si on traitait tous les jeunes hommes voulant s’acheter une arme comme sont traitées les femmes désirant avorter? ». La proposition ne vient pas d’un politique, d’un intellectuel ou d’un journaliste américain, mais d’un illustre inconnu, Roonpdx, sur son compte Instagram. Quelques jours après la tuerie du campus universitaire d’Umpqua et en pleine campagne présidentielle, le message du jeune homme, repéré par TTSO, sonne autant comme un plaidoyer anti-arme que pro-avortement. La démonstration est saisissante. Selon l’auteur, pour se procurer une arme, un jeune homme doit « attendre obligatoirement 48h [avant d’avoir l’arme entre les mains NDLR], obtenir une autorisation parentale, une lettre du médecin traitant assurant qu’il comprend bien ce qu’il va faire, regarder une vidéo préventive sur la violence et les armes et faire une échographie anale (et pourquoi pas?) », détaille Roonpdx. « Il faudrait aussi, dans chaque État, ne laisser qu’un seul magasin d’armes et fermer tous les autres pour forcer le jeune homme à voyager sur plusieurs centaines de kilomètres, à poser un jour de congé et à passer la nuit dans une ville inconnue. Et (pour se rendre enfin au magasin), il faudrait encore qu’il traverse une foule de personnes hostiles qui brandissent des photos de proches tués par des armes à feu, qui le traitent de meurtrier et le supplie de renoncer à son achat », poursuit-il, avant de conclure: « En fait, ça serait beaucoup plus logique de faire ça avec les jeunes hommes et les armes qu’avec les femmes et les centres de santé, non? Parce qu’on n’a jamais vu une femme ayant avorté massacrer une salle remplie de personnes en quelques secondes, si? » Pour appuyer son propos, l’auteur se laisse aller à quelques caricatures. Les 48 heures d’attente existent déjà en ce qui concerne le port d’armes dans certains États. En Floride, la loi impose même un délai de 3 jours entre l’achat et la remise d’une arme. Quant à la sonde anale, il s’agit d’une référence à une affaire qui avait défrayé l’actualité américaine en 2013. À l’époque, le gouverneur du Wisconsin, Scott Walker, avait voté une nouvelle législation anti-avortement qui imposait une échographie à toutes femmes voulant avorter. « Une loi qui les aidera à prendre leur décision en connaissance de cause et qui protégera leur santé physique et mentale », avait alors justifié l’élu. La loi précisait également que « l’échographie peut être vaginale ou abdominale ». « J’aimerais vraiment beaucoup mettre une sonde anale au Gouverneur Walker à chaque fois qu’il doit prendre une « décision en connaissance de cause », avait alors répondu, furieuse, l’humoriste Sarah Silverman. Reste que le discours de Ronpdx fait principalement référence à des lois bien réelles. L’échographie est obligatoire dans une dizaine d’États. Conduire des heures pour avoir accès à une clinique pratiquant l’avortement n’est pas non plus une caricature, particulièrement dans les États dirigés par des Républicains. Selon le Guttmacher Institute, un organisme de recherche qui fournit des statistiques sur le contrôle des naissances et l’avortement, 87% des comtés du pays n’ont pas de médecin qualifié pour pratiquer l’avortement. Et l’autorisation parentale pour les mineurs -parfois des deux parents- est demandée dans 21 États. La stigmatisation des femmes avortant, « les personnes hostiles », évoquées dans le message de Ronpdx, est également une réalité. De nombreuses américaines en ont témoigné récemment sur les réseaux sociaux grâce au hashtag #ShoutYourAbortion [Parlez haut et fort de votre avortement, NDLR]. Les femmes qui ont lancé la campagne sont maintenant menacées de mort.