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Les Avancées dans la Recherche sur les OVNIs

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Les objets volants non identifiés (OVNIs) ont captivé l’imagination du public et des chercheurs pendant des décennies. Les observations d’OVNIs ont suscité des spéculations, des théories du complot et des interrogations sur la possibilité d’une vie extraterrestre. Au fil des ans, des avancées significatives ont été réalisées dans la recherche sur les OVNIs, qui ont contribué à démystifier certains cas tout en laissant subsister un certain nombre de questions en suspens.

L’une des avancées majeures dans la recherche sur les OVNIs est la démilitarisation progressive du sujet. Dans le passé, les enquêtes sur les OVNIs étaient souvent menées par des organismes militaires et gouvernementaux, ce qui suscitait des suspicions de dissimulation d’informations. Cependant, de nombreux gouvernements, y compris les États-Unis, ont déclassifié une grande partie de leurs archives liées aux OVNIs, permettant ainsi un examen plus transparent des observations.

De plus, les avancées technologiques ont contribué à améliorer la qualité des observations d’OVNIs. Les caméras vidéo, les télescopes, les radars et les smartphones sont désormais largement utilisés pour documenter les rencontres avec des phénomènes non identifiés. Cela a permis d’obtenir des preuves visuelles plus solides et des données plus fiables pour l’analyse.

L’émergence de groupes de recherche et d’organisations dédiées à l’étude des OVNIs a également stimulé la recherche. Des scientifiques, des enquêteurs et des amateurs passionnés collaborent pour examiner les cas d’OVNIs de manière plus rigoureuse. Certaines de ces organisations travaillent en partenariat avec des institutions académiques pour étudier les phénomènes inexpliqués de manière scientifique.

Cependant, malgré ces avancées, la recherche sur les OVNIs est toujours confrontée à des défis majeurs. Les preuves tangibles et la répétabilité des observations demeurent des éléments problématiques. De nombreux rapports d’OVNIs se révèlent être des méprises, des phénomènes atmosphériques naturels ou des explications plus terre à terre. Cela rend difficile la distinction entre les cas authentiques d’OVNIs et les explications conventionnelles.

De plus, le manque de financement et de ressources dédiées à la recherche sur les OVNIs limite la portée de ces études. Les scientifiques et les chercheurs qui s’intéressent à ce domaine doivent souvent travailler avec des budgets limités et peu de soutien institutionnel.

La recherche sur les OVNIs est également confrontée à un stigmate persistant qui peut dissuader les chercheurs sérieux de s’engager dans ce domaine. Les spéculations sensationnalistes, les théories du complot et le ridicule qui entourent souvent les OVNIs peuvent nuire à la crédibilité des chercheurs.

En conclusion, les avancées dans la recherche sur les OVNIs ont contribué à apporter une certaine clarté aux observations passées, tout en suscitant de nouvelles questions. Alors que les avancées technologiques et la démilitarisation du sujet ont ouvert la voie à une recherche plus transparente, la question des OVNIs reste un domaine complexe où la science et le mystère se côtoient. La recherche continue à évoluer, et il est possible que de nouvelles découvertes et de nouvelles réponses émergent à l’avenir.

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septembre 12th, 2023 at 7:12

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Une psychologie empirique

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Approche des pensées, représentation sur la nature des phénomènes psychologiques et particulièrement autour de la connexion des pensées à l’ensemble du corps et aussi au reste du monde physique actuel. L’approche est généralement concernée par les questions les plus générales sur la nature des problèmes : quelle est la nature mère de la beauté ? Qu’est-ce qu’obtenir des informations authentiques ? Qu’est-ce qui rend un mouvement vertueux ou peut-être une affirmation réelle ? Ce genre de préoccupations peut être posée à l’égard de nombreux domaines spécifiques, en utilisant le résultat qu’il existe des domaines entiers consacrés à la philosophie de l’art (l’esthétique), à ​​l’approche de la science, à l’éthique, à l’épistémologie (la théorie de l’information), et aussi à la métaphysique (l’étude des meilleures catégories du monde). La philosophie des pensées est particulièrement concernée par des questions assez fondamentales sur le type de phénomènes psychologiques : quelle est, par exemple, la nature mère de la croyance, du sentiment, de la compréhension, de la conscience et de l’expérience sensorielle ? Ces questions philosophiques sur la nature du phénomène doivent être distinguées des préoccupations à consonance comparable qui concernent généralement des enquêtes plus purement empiriques – telles que l’état d’esprit expérimental – qui dépendent de manière cruciale des résultats de l’observation sensorielle. Les psychologues empiriques sont, dans l’ensemble, concentrés sur la découverte de faits contingents sur des individus et des créatures réels – des choses qui se trouvent être réelles, même si elles auraient pu s’avérer fausses. Par exemple, ils pourraient découvrir qu’un certain produit chimique est libéré lorsque et seulement lorsque les individus sont effrayés ou que la zone spécifique des capacités mentales est déclenchée lorsque et seulement lorsque les individus souffrent ou pensent à leurs pères. Mais le philosophe aimerait savoir s’il est important de délivrer cette substance chimique ou de déclencher son cerveau dans cette zone pour avoir peur, se sentir mal à l’aise ou avoir des idées sur son père : des créatures dépourvues de cette conception chimique ou crânienne particulière en seraient-elles incapables ? rencontres? Est-il possible pour quelque chose d’avoir de telles expériences et d’être composé d’aucune « matière » que ce soit, comme lorsqu’il s’agit de fantômes, comme beaucoup de gens l’imaginent ? En posant ces questions, les philosophes ont à l’esprit non seulement les probabilités (peut-être) lointaines de fantômes, de dieux ou d’animaux extraterrestres (dont les constitutions physiques réelles seront vraisemblablement très différentes de celles des gens), mais en plus et surtout une possibilité qui semble être se profile en fait plus grand dans le mode de vie contemporain – la possibilité d’ordinateurs capables de penser. Un ordinateur pourrait-il avoir une pensée ? Que penserait-il de produire un ordinateur qui pourrait avoir une pensée, une émotion ou une expérience spécifique ? Peut-être qu’un ordinateur n’aura de pensées que s’il est composé exactement des mêmes types de neurones et de substances chimiques que le cerveau des êtres humains. Mais cette suggestion peut sembler grossièrement chauvine, un peu comme affirmer qu’un être humain peut avoir des prétentions mentales uniquement lorsque ses globes oculaires sont d’une couleur spécifique. D’un autre côté, il n’y a certainement pas que n’importe quel appareil informatique qui possède une pensée. Que l’on crée ou non bientôt des dispositifs qui sont sur le point de devenir des candidats sérieux pour avoir des états psychologiques, se concentrer sur cette possibilité de plus en plus sérieuse est un excellent moyen de commencer à comprendre les types de questions abordées dans la philosophie de la pensée. Même si les questions philosophiques ont tendance à se concentrer sur ce qui est possible, essentiel ou important, par opposition à ce qui est simplement, cela ne veut tout simplement pas dire que ce qui est exactement, c’est-à-dire les résultats contingents de la recherche scientifique empirique, n’est pas lié de manière importante. à la spéculation philosophique concernant l’esprit ou un autre sujet. En effet, de nombreux philosophes pensent que la recherche médicale peut révéler l’essence, ou la « nature », de nombreuses maladies (par exemple, que la polio nécessite l’existence énergétique d’un virus spécifique) ou que la biochimie peut révéler la nature de nombreux éléments (par exemple, que l’eau est H2O). Néanmoins, contrairement aux cas de maladies et de substances, les questions sur la nature de la pensée ne semblent pas pouvoir être résolues par une étude empirique par vous-même. A tout prix, aucun spécialiste empirique n’a su y répondre à l’épanouissement d’un nombre suffisant d’individus. Les problèmes relèvent donc, au moins en partie, de la philosophie.

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septembre 9th, 2023 at 9:20

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La fixation des parfums

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La fixation des parfums

La fixation est l’un des plus grands défis auxquels l’industrie de la parfumerie est confrontée. C’est aussi l’un des facteurs les plus importants entre le succès et l’échec d’une composition de parfum.
En parfumerie, la fixation est un processus qui favorise la rétention du parfum sur le porteur aussi longtemps que possible.
Les fixateurs sont les substances non volatiles utilisées pour ralentir le taux d’évaporation des composants volatils d’un parfum. Ils aident les parfumeurs à perfectionner leurs mélanges au plus haut niveau et sont des outils de commerce indispensables au sein de l’industrie du parfum.
Obtenir le bon processus de fixation est très important. Cela est particulièrement vrai car la plupart des acheteurs de parfums ne cherchent pas à acheter des parfums qui ne durent pas longtemps sur le corps. Personnellement, je ne connais personne qui veut dépenser son argent durement gagné sur des parfums si éphémères, que leur parfum a disparu dans la première heure après l’application. Ce sera comme jeter de l’argent par les fenêtres.
Les matières premières utilisées pour la fixation dans les parfums peuvent être de nature naturelle ou synthétique. Parfumé ou non parfumé, avec une nature identique, des caractères similaires à la nature ou non. En fin de compte, leur objectif est qu’ils ne soient pas suffisamment volatils pour permettre au mélange de parfums de se développer et de conserver toute son intensité pendant de longues périodes.
La plupart des parfumeurs professionnels préfèrent utiliser des agents de fixation synthétiques ou artificiels dans leurs mélanges. Ces types de méthodes de fixation ont plus de produits disponibles qui peuvent être utilisés pour fixer efficacement un parfum sans altérer significativement son odeur d’origine avant que les fixateurs ne soient ajoutés.
Si vous optez pour la voie naturelle, les matériaux fixateurs comme le patchouli, le vétiver, atelier de parfum Dijon le labdanum et d’autres ont une grande capacité de fixation. Cependant, leur odeur peut facilement dominer l’ensemble de votre mélange ou le modifier radicalement si elles ne sont pas manipulées avec soin.
Heureusement, il existe des fixateurs extensifs qui peuvent être utilisés en mélange pour augmenter le taux d’évaporation de chacune des différentes notes d’un parfum. De plus, vous pouvez utiliser différents agents de fixation pour différentes parties de votre mélange. Par exemple, vous pouvez choisir de ne fixer que les notes du haut et du milieu dans votre composition si la note de base a déjà suffisamment de puissance.
Étonnamment, une fixation extrême dans un parfum ne garantit pas une bonne rétention des odeurs. En fait, une fixation excessive peut entraîner l’inhibition mutuelle des agents fixateurs, entravant ainsi la diffusion des parfums et rendant l’odeur du parfum impossible à sentir dans l’air autour de l’utilisateur.

parfum (9)

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juin 16th, 2023 at 3:12

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Les avantages du voyage : comment en profiter tout en préservant sa santé.

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Voyager à travers le monde peut être très excitant, mais cela peut aussi être dangereux pour notre bien-être. C’est pourquoi il existe un type de traitement spécifique, appelé « traitement de vacances », qui aide les personnes à rester en bonne santé pendant leurs vacances. Juste avant de partir en voyage, nous devons parler à un prestataire de soins de santé qui pourra nous conseiller et nous dire si nous avons besoin de médicaments ou de photographies spécifiques pour nous maintenir en sécurité. Nous devons également nous renseigner sur l’endroit où nous nous rendons afin d’être préparés à toute variation de l’environnement ou de l’hygiène. En prenant soin de notre santé juste avant et pendant nos voyages, nous pouvons passer un excellent séjour sans être malades.

Récemment, le nombre de personnes voyageant dans le monde entier a considérablement augmenté. S’il s’agit d’une expérience intéressante et satisfaisante, elle expose également les voyageurs à de nombreux risques infectieux. Ces risques peuvent concerner la qualité de l’eau, la chaleur et l’humidité, ainsi que le contact avec des micro-organismes multirésistants. Pour faire face à ces problèmes, il est urgent de mettre au point une nouvelle catégorie de traitements, les médicaments de voyage.

L’un des nombreux aspects importants pour garantir la santé et la sécurité des vacanciers est la nécessité d’un programme de soins de santé personnalisé. Ce programme doit être basé sur des protocoles médicaux mondiaux et des études épidémiologiques, et doit être élaboré lors d’une évaluation préalable au départ en vacances. Au cours de ce rendez-vous, les touristes doivent recevoir des informations cruciales sur les problèmes de propreté prédominants et les différences météorologiques dans la région qu’ils visitent.

Une fois arrivés sur leur lieu de vacances, les touristes peuvent être confrontés à des problèmes de santé supplémentaires. Il est donc important de prévoir une visite chez un spécialiste de la santé, en particulier pour les personnes souffrant de maladies chroniques ou suivant un traitement. Des vaccins sont également requis pour certains lieux, et les professionnels de la santé doivent être en mesure d’informer les voyageurs de leurs exigences particulières.

Malgré l’importance des visites médicales et des vaccinations avant le voyage, des études montrent que de nombreux voyageurs ne sont pas correctement informés de ces risques. Si de nombreux touristes cherchent à obtenir des conseils en matière de santé avant leur voyage, tous ne se font pas vacciner et ne prennent pas les médicaments nécessaires. Il est donc nécessaire de poursuivre la croissance et le développement du domaine de la médecine de vacances, 100% Voyage ainsi que l’expansion et la disponibilité des services professionnels de bien-être.

En conclusion, le fait de partir en vacances dans le monde entier peut entraîner des risques considérables pour la santé d’une personne. Une préparation et des soins appropriés sont nécessaires pour s’assurer que les vacanciers restent en sécurité et en bonne santé pendant leurs vacances. Cela implique de consulter des professionnels de la santé spécialisés, de se faire vacciner et de prendre des médicaments appropriés, et de s’informer de manière adéquate sur les problèmes d’hygiène prédominants et les variations climatiques. En traitant ces plaintes, nous contribuerons à faire en sorte que les avantages associés au voyage soient appréciés sans problèmes de santé excessifs.

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avril 14th, 2023 at 10:48

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Les accords de conscience de Pierre Abelard

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Selon leur propre estimation, le savant français Peter Abelard «a confondu toutes les découvertes de l’époque» concernant ses réflexions philosophiques. Au niveau de sa popularité, après avoir battu ses professeurs dans des arguments logiques et fondé leur propre université, Abélard approuva le siège à l’université cathédrale Notre-Dame de Paris en 1115. Ses conférences sur l’approche grecque et la théologie chrétienne attirèrent un grand nombre d’étudiants, mais Héloïse d’Argenteuil, 17-12 mois, sortait tout droit du groupe. «Je l’ai trouvée, je l’aimais, je me suis fixé pour qu’elle me fasse plaisir», se reflète Abélard dans son autobiographie. Héloïse résidait avec son grand-père Fulbert, chanoine de la cathédrale – pas vraiment d’homme avec qui être à la légère. Cela n’a présenté qu’un léger combat pour Abélard, qui a conçu un plan pour sortir Héloïse des yeux vigilants du canon. «J’étais ambitieux dans mon choix [de la jeune femme], et j’espérais avoir des obstacles, afin de pouvoir les surmonter avec la gloire et le plaisir supérieurs», a publié Abelard. Il s’est lié d’amitié avec Fulbert en utilisant une connaissance commune, et dans un coup de cœur de chance, Fulbert l’a nommé pour entraîner Héloïse en vue. «Peux-tu y penser, il m’a permis de profiter de sa table à dîner, plus un condo dans leur résidence? [Et] par cela signifie que j’ai trouvé des possibilités d’être en exclusivité avec elle », écrivit Abelard, manifestement content de lui. Héloïse a décliné amoureux de son entraîneur, qui a plus du double de son âge; leurs cours privés ont rapidement dégénéré en leçons de chair. Rapidement, leur amour ne pouvait pas être couvert à l’heure d’été, et ils se contentaient secrètement la nuit pour «exprimer des affections communes». Comme l’a dit sans ambages l’un des contemporains d’Abélard, le professeur découvert «lui a appris à ne pas se battre mais à forniquer». Les rumeurs sur la situation d’Abélard et d’Héloïse se sont répandues dans tout Paris, revenant progressivement à l’oreille de Fulbert. Le grand-père enragé a jeté le professeur de sa propriété et dans la rue. Abélard a refusé d’abandonner son jeune amant. Après avoir loué un appartement à proximité de la maison de Fulbert, il s’est contenté de la femme de chambre d’Héloïse Agaton. Il l’interroge pour devenir intermédiaire entre eux et Héloïse. Malheureusement pour Abélard, la bonne a eu ses pensées pour lui: je suis juste profondément amoureuse de toi, Abélard; Je comprends que vous aimez Héloïse, et donc je ne vous blâme généralement pas; Je veux simplement prendre plaisir au prochain domaine de vos affections. Habituellement, ne vous laissez pas perplexe avec des scrupules; un homme prudent doit en aimer plusieurs en même temps, alors si quelqu’un doit échouer, il ou elle n’est pas encore laissé sans provision.

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avril 13th, 2023 at 4:37

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Acheter ou louer un jet privé : Quels sont les avantages ?

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Acheter ou louer un jet privé : Quels sont les avantages ?

qu’offrent les vols charter ? Presque tout ce que vous pouvez demander, depuis une limousine avec chauffeur pour vous conduire à l’aéroport jusqu’à un départ selon vos besoins ; pas de files d’attente serpentines pour vous accueillir au terminal de l’aéroport, et oubliez la restriction des bagages. Vous pouvez vous promener librement à bord, organiser un enterrement de vie de jeune fille, des réunions en vol ou commémorer tout autre événement spécial, tout en savourant de nombreux plats étonnants parmi la sélection de nourriture ; tout est fait sur mesure pour chacun de vos goûts !

Le luxueux menu personnalisé comprend des choses étonnantes comme du caviar Beluga ou des sushis japonais. Par exemple, alors que le Club A single Air dispose d’un sous-chef pour préparer des mets délicats, JetSetGo propose des plats professionnels après consultation du diététicien du passager. Ce dernier propose également des accessoires allant des draps égyptiens à 100 fils et du linge de lit spécial Grèce antique à la vaisselle, aux coussins et aux vêtements de nuit personnalisés. En outre, les avions sont soumis à une désinfection en plusieurs étapes pour la sécurité des passagers. Le concierge sur place offre également toute l’aide nécessaire aux voyageurs pour trouver un moyen de transport ou réserver un hôtel.

Qu’il s’agisse de vos besoins professionnels ou de vos exigences en matière de loisirs, les solutions d’affrètement prennent tout en charge, avec un niveau de luxe supplémentaire. Cependant, tout cela a un coût. Contrairement à des industriels comme Ratan Tata (Dassault Falcon 2000), Mukesh Ambani (Boeing Company Jet) et Adar Poonwalla (Airbus A320), il n’est peut-être pas possible pour beaucoup d’autres de posséder ou de conserver un jet privé. Surtout lorsque leurs coûts varient entre 4,95 mille et 170 millions de dollars pour des avions tels que l’Embraer Phenom 100 et le Boeing 767-33A ER, respectivement.

Alors, Gulfstream G500 qu’est-ce qui explique cette tendance ? La raison principale réside dans les modifications dues à Covid-19. « Lorsque la première vague a frappé, de nombreuses personnes avaient leur famille coincée dans différentes zones métropolitaines. Ils étaient inquiets à l’idée d’utiliser des vols de passagers parce qu’il n’y avait pas beaucoup de clarté. Ils ont donc eu recours à des charters », indique Kanika Tekriwal, PDG de JetSetGo, le premier agrégateur de services de charters en Inde.

Une fois que le virus a commencé à diminuer et que les sites mondiaux ont été exposés, les gens ont commencé à se rendre dans des destinations proches comme Dubaï et les Maldives, marquant ainsi le début de la saison des « voyages de vengeance ». Même si les compagnies aériennes régulières ont repris toutes leurs activités, l’angoisse de voyager sur le vol industriel pousse beaucoup de gens à chercher des options. « La tendance des voyages de vengeance est là maintenant. Nous avons également constaté une augmentation des besoins des personnes qui souhaitent affréter un art pour gérer leur temps », déclare Amit Dutta, MD de Blade India, ajoutant : « Aujourd’hui, nous constatons que les demandes proviennent d’un segment beaucoup plus important de la société. Ce type de voyageurs n’affrète peut-être pas un avion chaque mois, mais il est ouvert à l’idée d’examiner le coût d’un affrètement. » Les entreprises avec lesquelles BT s’est entretenu pour votre récit ont constaté une augmentation de 100 % des demandes de voyages dans le monde entier après que les premiers touristes ont pris conscience de la commodité d’utiliser des jets personnels pour voyager dans le monde entier.

Ces passagers sont un mélange de clients d’entreprise, de particuliers, de célébrités et de tous ceux qui peuvent se permettre de voler dans un avion privé. La façon dont les hommes d’affaires voyagent aujourd’hui, juste après Covid-19, donne des ailes à la croissance des vols charter. « Auparavant, ils voyageaient seuls ou avec une délégation établie. Aujourd’hui, ils voyagent souvent avec leur famille lors de voyages d’affaires », explique Rajan Mehra, PDG de Team One Atmosphere.

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février 13th, 2023 at 3:59

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Le coût élevé de la recharge des véhicules électriques en milieu urbain

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Alors que les conducteurs de banlieue peuvent facilement recharger chez eux, ceux qui travaillent dans des zones à revenus réduits doivent faire face à des prix plus élevés – lorsqu’ils peuvent chercher une station qui fonctionne réellement.

Vous habitez en banlieue et vous avez un garage ? Bonne nouvelle : Charger votre véhicule électrique ne pourrait pas être moins cher. Vous résidez dans le centre ville et vous vous garez dans la rue ? Pas de chance, vous risquez de payer plus que le prix du diesel pour faire fonctionner votre VE.

C’est un petit problème pour l’instant, mais il s’amplifie de jour en jour. Les ventes de VE ont doublé l’année dernière et représentent aujourd’hui 8,6 % des ventes mondiales. Et bien que ces automobiles restent souvent plus chères à l’achat que les véhicules à essence ou diesel, le prix élevé du carburant signifie qu’elles sont moins chères à utiliser sur le long terme. Mais il y a un hic : Malgré les prix record du carburant aux États-Unis et dans les pays européens, recharger la batterie dans une station d’énergie à charge rapide peut coûter près de 80 % de plus que de la recharger dans votre allée ou votre garage, si vous en avez un.

Ce coût élevé n’est pas seulement préjudiciable aux personnes. Il pourrait également retarder le déploiement des VE dans les villes ou les quartiers souffrant de l’une des plus fortes pollutions atmosphériques. « Ce n’est pas seulement injuste, c’est une erreur politique », déclare Nana Osei Bonsu, chercheur spécialisé dans la durabilité au Birmingham Company College. « Les personnes vivant dans des appartements sont maintenant laissées de côté dans le passage aux VE ».

L’organisation de consommateurs Which ? surveille et mesure le coût de la recharge de certains VE à l’aide d’une série de techniques : La recharge à domicile coûte en moyenne 28 pence (34 cents) par kWh, l’utilisation d’un point de demande public de climatisation plus lent coûte 35 pence par kWh, tandis qu’un point de demande CC rapide coûte 50 pence par kWh. Cela signifie que recharger une Hyundai Ioniq à la maison coûte 7,3 pence par kilomètre au prix actuel de l’électricité, contre 13,1 pence par kilomètre aux points de recharge rapide les plus coûteux, soit une différence de plus de 500 £ (600 $) par an si vous parcourez 9 000 kilomètres par an.

Cet écart se creuse pour les véhicules plus inefficaces ou ceux qui ont besoin de plus de puissance, comme les SUV. La Polestar 2, par exemple, coûterait 13,2 pence par kilomètre à la demande à la maison contre 23,5 pence par kilomètre en utilisant un chargeur rapide.

L’écart devient encore plus grand si l’on compare le prix de la recharge à partir de chargeurs intelligents installés dans une structure murale, dont l’installation coûte environ 900 £, au prix d’un simple câble. Les chargeurs intelligents vous permettent de tirer le meilleur parti des prix immédiats de l’électricité, qui pourraient faire baisser les prix de près d’un tiers.

Et si les VE restent généralement moins chers à l’usage que leurs équivalents à essence ou diesel, Easee ce ne serait peut-être pas le cas si vous n’utilisiez qu’un chargeur rapide de batterie à courant continu. Si vous branchez votre VE à la maison ou utilisez des facteurs de charge dans la rue, vous serez probablement en train d’esquisser un courant de commutation, ou CA. Les chargeurs rapides utilisent le courant continu, ou CC, qui est plus rapide et plus coûteux. Charger cette Hyundai Ioniq à un point de courant alternatif typique coûterait 826 £ par an, contre 1 180 £ sur le stade de la demande de 50 kW en courant continu – et comme il s’agit d’un VE incroyablement efficace qui utilise 16,3 kWh aux 100 km, c’est le meilleur scénario.

Les données de l’International Authorities on Clear Transport, une organisation écologique à but non lucratif, montrent que les recharges rapides peuvent coûter de 3 à 5 fois plus cher que l’énergie électrique résidentielle. « Le fait de dépendre d’un système de recharge plus coûteux et probablement aussi moins pratique vous prive de l’un des principaux avantages d’un véhicule électrique : la réduction du coût permanent de la conduite », explique le spécialiste principal Dale Hall. « Ceux qui vivent en appartement, y compris les personnes à revenus réduits, peuvent finir par dépenser beaucoup plus ou simplement ne pas acheter un véhicule électrique et continuer à dépenser de l’argent en carburant. »

Les maisons situées dans les zones métropolitaines sont moins susceptibles de disposer d’un parking hors route que celles situées dans les zones rurales ou suburbaines, et 78 % des maisons américaines appartenant à des résidents disposent d’un espace de garage ou d’un abri pour voiture, contre seulement 37 % pour les personnes qui sont en location, selon les données du recensement américain. « Ce stress est sans aucun doute ressenti beaucoup plus fortement par les personnes résidant dans les zones urbaines, car aux États-Unis, les garages personnels avec accès à l’électricité sont presque communs en dehors des villes denses », explique M. Hall. « Même dans les villes des États-Unis, le stationnement hors voirie est relativement courant, mais il s’agit souvent de garages partagés où il n’y a pas forcément d’accès à l’électricité. »

En un mot, les villes qui ont le plus besoin de VE seront les plus hostiles à leur égard, et les résidents à revenu réduit qui bénéficieraient le plus financièrement de l’abandon du gaz peuvent se retrouver avec des dépenses raisonnablement limitées. L’installation d’un grand nombre de bornes de recharge dans toutes les zones métropolitaines – sur les routes, dans les zones de loisirs des véhicules immobiliers, dans les commerces et sur les lieux de travail – peut permettre de relever le premier défi, mais il est plus difficile de garantir l’équité de la recharge des VE.

En attendant, les habitants des villes à faible revenu devront soit payer plus cher pour avoir un VE, soit ne pas en avoir du tout. « L’un ou l’autre de ces choix favorise l’inégalité économique et peut également contribuer à l’idée répandue que les véhicules électriques sont une technologie réservée aux personnes aisées et non à la société dans son ensemble, ce qui entrave les efforts visant à accélérer l’adoption de ces véhicules », déclare M. Hall.

Pour combler le fossé, les prix de l’énergie électrique des VE pourraient être réduits par le biais d’une réglementation ou d’incitations aux ressources. Le Royaume-Uni devrait reconsidérer la taxe sur la valeur ajoutée (TVA), car l’électricité domestique est soumise à une TVA de 5 %, tandis que l’électricité vendue aux bornes de recharge est soumise à une TVA de 20 %.

Il existe d’autres solutions. M. Bonsu préconise l’installation d’un plus grand nombre de bornes de recharge rapide dans les quartiers, plutôt que de simples stations-service, tandis que M. Hallway suggère d’exiger l’installation de bornes de recharge dans tous les nouveaux bâtiments ou dans ceux qui font l’objet de rénovations importantes, qu’il s’agisse de magasins, de maisons ou d’immeubles de bureaux. M. Hallway met en garde contre l’idée que seuls les cols blancs veulent des recharges, qui devraient être installées dans les zones de loisirs industriels, les magasins de détail et partout où les gens travaillent. « Même s’il faudra un certain temps pour que cette mesure ait un impact, elle peut contribuer à faire en sorte que, dès que les automobiles électriques constitueront la majeure partie du parc automobile, beaucoup plus de conducteurs auront accès à une recharge abordable et pratique », affirme M. Hall.

Mais le problème ne se limite pas à l’accessibilité des infrastructures : les systèmes de recharge sont trop compliqués, ce qui ajoute une charge supplémentaire à la charge financière. Il existe des dizaines de fournisseurs, chacun utilisant sa propre application de paiement, son propre système d’abonnement et ses propres prix, sans oublier les frais de liaison et autres frais annexes et les différents chargeurs. « L’utilisation d’un chargeur public par rapport à celle d’un chargeur de batterie à domicile est plus difficile pour le consommateur le soir et le jour », explique Patrick Reich, directeur général et cofondateur de Bonnet, une application d’agrégation et de remboursement des charges.

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janvier 12th, 2023 at 2:28

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Un sommet sur l’évaluation du risque nucléaire

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Il y a peu de temps, je me suis rendu à une conférence pour évaluer les risques de guerre et notamment à la lumière de ce qui se passe en Ukraine. Ce voyage d’entreprise nous a permis d’envisager ce qui pourrait mal tourner entre l’Ukraine et la Fédération de Russie ainsi que les conséquences possibles d’une guerre nucléaire. Cette conférence était très intéressante et voici ce que j’en ai découvert. Les États-Unis ont connu plusieurs conflits qui se sont terminés de façon catastrophique au cours des deux dernières décennies, le dernier étant la bataille du Golfe Persique, il y a plus de trente ans. Cependant, la faiblesse des membres de la famille de nos adversaires ainsi que leur incapacité à envoyer une force militaire contre le territoire américain – peu importe ce que nous avons déclaré concernant leurs armes de destruction massive avant de les envahir – a façonné la façon dont beaucoup de gens qui devraient être mieux informés pensent à la guerre. L’intérêt militaire devient une option politique parmi d’autres, comme l’augmentation ou la réduction de l’impôt sur le revenu et la fixation du revenu minimum. En réponse aux plaidoyers passionnés du leader ukrainien Volodymyr Zelensky, les législateurs et les commentateurs se sont penchés sur la question, estimant que la seule question est le rythme auquel ces demandes pourraient être satisfaites. Lorsque l’Ukraine demande ouvertement, notre réponse devrait être « dans quel délai pouvons-nous l’avoir ? » et non « comment les avocats vont-ils décrire cela ? ». Le sénateur Ben Sasse (R-Neb.) a déclaré dans une déclaration. « Zelensky exige plus, et l’Amérique peut faire plus ». La représentante Elise Stefanik, 3e républicaine de la Chambre, a déclaré à propos des avions de guerre Shine contestés : « Le peuple ukrainien a besoin de ces MiG et en a besoin maintenant. » Michael McFaul, ancien ambassadeur des États-Unis auprès de la Fédération de Russie tout au long de l’administration Obama, a fait écho à ce sentiment. « Peut-être que [Zelensky] comprend très bien ? » a demandé McFaul à l’intérieur d’un tweet effacé. « Qui sommes-nous pour lui dire le contraire ? Si prétentieux. » « Nous » sommes justement ceux à qui l’on demande de risquer une guerre nucléaire au nom de l’Ukraine. Même sans cela, « nous » avons la prérogative d’évaluer nos propres intérêts de protection nationale, également. Et « nous » n’avons pas seulement une obligation morale pour ce qui se passe si nous ne fournissons pas certains types d’aide à l’Ukraine, mais aussi pour ce qui se passe si nous le faisons d’une manière qui prolonge la bataille et entraîne la mort de beaucoup plus d’Ukrainiens. M. McFaul a été très critiqué, mais le corps de presse de la Maison Blanche demande chaque jour pourquoi le président juge différentes mesures d’escalade. Un seul journaliste a demandé pourquoi le président européen Vladimir Poutine a été « informé dès le départ qu’il ne s’occuperait jamais de l’implication militaire des États-Unis et de l’OTAN ». Alors que la rhétorique enflammée ne manquait pas pendant la bataille froide, c’est le genre de croyance qu’il faut garder quand l’évitement de la guerre nucléaire ne doit pas être une préoccupation majeure avant une implication. Mais ce qui était vrai en Afghanistan, malgré l’inefficacité de beaucoup de nos efforts là-bas, ne l’est pas ici.

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décembre 23rd, 2022 at 10:07

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Vers un Brexit effectif

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Les dirigeants de Western Union ont regardé leurs montres-bracelets avec inquiétude et ont demandé où se trouvait le parfait ministre anglais. Ils s’étaient réunis dans un monastère vieux de 500 ans à Lisbonne pour obtenir une cérémonie de mariage unique pour indiquer un traité historique, et ce n’était pas vraiment la chose à faire avec un numéro qui ne se présenterait pas. C’était en décembre 2007, et Gordon Brown était le PM. « Nous avons besoin de Gordon », a déclaré le président de l’époque, Nicolas Sarkozy, en anglais à un moment donné. Cependant, lorsque les chefs de file ont acquis leurs stylos, Gordon était toujours au Royaume-Uni. Si jamais vous aviez besoin d’un bon exemple de l’attitude de la Grande-Bretagne à l’égard de cette attitude vis-à-vis de l’UE, qui l’avait été. Brown n’était pas présent alors qu’il s’opposait au traité. En fait, sa stratégie était de le faire ratifier par le Parlement dès que possible. Il ne voulait tout simplement pas que des photos télévisées de lui fêtent avec leurs homologues occidentaux car elles rendaient le bloc plus robuste. Il s’est donc présenté à 3 heures et demie plusieurs heures de retard et a maladroitement signé le record dans une petite pièce, bien que de l’autre côté de la porte, 26 autres dirigeants de l’UE soient actuellement en train de sortir de l’heure du déjeuner. L’épisode met en lumière les relations d’appréhension du You.K. avec l’union des pays qu’il a rejoints en 1973. Avec un pied particulier à l’intérieur puis un pied à l’extérieur, il n’avait jamais été sûr de la méthode à convertir – ainsi que du bloc ne semblait nullement apprendre à lui permettre d’être plus à l’aise. Enfin, a fourni l’occasion de s’exprimer dans le cadre d’un référendum en 2016, 52% des You.K. les électeurs ont choisi de partir. Cela a entraîné trois ans de négociations difficiles et de mauvaise humeur, ainsi que parfois chaotiques avec l’UE concernant le retrait du pays et les contorsions au Parlement qui ont divisé les célébrations, mis fin à la carrière politique et conduit à deux élections générales. En fin de compte, tout sera terminé: The You.K. part le 31 janvier. Dans les couloirs de force de l’UE, les gens vérifient où tout cela s’est mal passé: Comment avons-nous abandonné la Grande-Bretagne? À Bruxelles, siège de la plupart des organes de l’UE, certaines autorités estiment que la Grande-Bretagne n’aurait pas dû adhérer au départ. (Cela avait été permis en 20 ans après l’arrivée d’une demi-douzaine de pays fondateurs, possédant deux fois été repoussé par le leader français Charles de Gaulle.) La Grande-Bretagne la considérait aussi culturellement, elle a obtenu des hyperliens plus robustes vers les États-Unis. , ainsi que sa politique et ses techniques légitimes avaient été aussi diverses, beaucoup le croyaient alors et certains le croyaient néanmoins. Lorsque la première ministre d’alors, Theresa May, a déclaré lors d’une conversation à Florence en 2017 que «peut-être à cause de notre histoire et de notre géographie, l’Union européenne ne nous a jamais remarqué comme faisant partie intégrante de notre scénario national de la manière dont elle peut l’être pour de nombreux autres endroits en Europe », il y a plus d’un scintillement de reconnaissance dans toute la Région. Cependant, la perception dominante parmi les hauts responsables politiques de l’UE continue d’être déçue. Les individus du Royaume-Uni n’ont presque jamais été aussi avisés, mais le Royaume-Uni a joué un rôle essentiel et influent en tant qu’associé. Bien que son peuple en politique a malmené Bruxelles avec sa population est devenu progressivement eurosceptique (tout ce qui a été créé avec l’objectif), ses diplomates ont joué un rôle constructif. En effet, Welshman Roy Jenkins, qui a augmenté pour devenir le leader du pourcentage européen en 1977, et Arthur Cockfield, le commissaire du Royaume-Uni depuis 1985, ont été les architectes de l’union financière et aussi de l’industrie individuelle, en conséquence. Par son enregistrement, la Grande-Bretagne a constitué un contrepoids aux capacités rivales de la France et de l’Allemagne; la séquence rebelle du Royaume-Uni a donné à un fauteur de troubles des endroits tout aussi cruciaux à dissimuler juste derrière; avec son intuition gratuite dans l’industrie, le bloc n’a pas été racheté par les associés du sud à l’esprit protectionniste. La Grande-Bretagne a conçu une couverture européenne et soutenu de nouvelles directives beaucoup plus régulièrement qu’elle ne l’a comparée.

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décembre 23rd, 2022 at 9:59

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Etre consultant ou chercheur ?

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Plutôt qu’une force de proposition scientifique radicale, le doctorat est devenu un simple outil pratique d’aide à l’action (humanitaire) Auteur fourni
Comment répondre aux exigences qui relèvent du rapport des connaissances dans les contextes où les demandes d’expertise technique en matière d’intervention sanitaire ou médicale se multiplient?
En juin 2018, au WARC (West African Research Center) à Dakar, nous présentions pour la première fois notre ouvrage collectif Tu seras docteur.e mon enfant, en présence du professeur Laurent Vidal, auteur de Faire de l’anthropologie: santé, science et développement (éditions La Découverte, 2010).
Parmi nous, un jeune docteur en sociologie avouait avec une pincée d’amertume qu’il aurait aimé «continuer» à l’université, mais qu’il n’y avait pas moins «fier» d’être consultant pour une grosse organisation non gouvernementale :
«Les contraintes ne sont pas les mêmes. On travaille avec des termes de référence imposés…. Mais ça nourrit bien son homme ».
Le cas de ce jeune collègue n’est absolument pas isolé. Pour les nombreux candidats.es au doctorat sur les questions comme l’éducation, l’agriculture ou la santé, la consultance sera à la fois un marqueur du parcours doctoral et un projet professionnel.
Dans l’ouvrage collectif précité, au rang des motivations à s’engager dans une thèse de doctorat, il y a très souvent les opportunités ouvertes par des projets financés par des acteurs étrangers. Ces projets constituent des incitations sérieuses à s’engager dans la recherche au cours de son maître ou de son doctorat, et le désir de travailler à temps plein pour les organisations qui financent ces projets est considérable.
S’éloigner des objectifs de la recherche
En effet, l’insuffisance, voire l’absence de moyens destinés à la recherche au sein des universités africaines, de même que les demandes de plus en plus croissantes d’expertise locale sur les enjeux dits de développement poussent les jeunes chercheur.es à s’éloigner, parfois pendant longtemps des objectifs propres à la recherche qui sont: le positionnement dans les débats scientifiques, empiriques et théoriques à travers les publications; la priorité aux enquêtes de terrain rigoureuses et intensives; la priorité à la production de connaissances nouvelles empiriquement fondée; le respect des normes et standards internationaux en matière scientifique
La consultance et l’expertise répondent à des logiques différentes. Les termes de référence sont plus ou moins imposés, les temps impartis à la collecte des données est tribunal, la pression forte pour une aide à l’action au service du commanditaire, etc. Au final, rien n’indique que l’expertise sociologique sollicitée ait un réel impact.
Un seul thème: «l’Afrique» ou «les Africains»
Le ou le jeune chercheur.e en sciences sociales et santé africain.e est dès le départ pris.e entre plusieurs logiques qu’il doit concilier. Premièrement, le choix de ses objets de recherche. Contrainte postcoloniale ou géographique?
La quasi-totalité des recherches menées par les jeunes chercheur.e.s africains.e.s sur la santé ont pour dénominateur commun, unité partagée et point de départ et d’arrivée «l’Afrique» ou «les Africains».
Bien sûr la recherche sur le continent par les enfants du continent est jeune et nécessite d’être approfondie. Cependant, les sujets traités ont (presque) toujours trait au développement. L’Afrique n’est-elle pas le laboratoire par excellence des politiques d’aide au développement?
L’Université elle-même, ce legs colonial, n’a-t-elle pas été pensée pour répondre aux exigences de développement?
Lorsqu’on choisit par exemple de travailler sur la santé maternelle, le paludisme, ou le VIH / sida plutôt que sur le tabagisme, la santé mentale ou l’obésité, c’est dans la certitude que ces thématiques intéressent les acteurs du Nord ( ONG ou centres de recherche). En l’état actuel des choses, c’est-à-dire vu l’état de nos universités et le déséquilibre des relations Nord-Sud, il semble quasi impossible d’échapper à cet étau. Il y a pourtant une liberté à acquérir dans le choix de ses objets, peu importe qui est et d’où vient. Le premier enjeu est donc celui de l’autonomie.
Feu le professeur Fabien Eboussi Boulaga a appelé, comme d’autres, à investir pour faire vivre la recherche en Afrique.
Se faire une place
Deuxièmement, le ou le jeune chercheur.e africain.e doit arbitrer entre la priorité scientifique et ses contraintes, et la priorité consultative et ses contraintes.
Dans le premier cas, il s’agit de mener une enquête de terrain assez rigoureuse auprès des acteurs de la santé par exemple, et de gérer leurs soupçons quant à l’intérêt, voir l’utilité de votre démarche. Exercice à gagner plus difficile si l’on est inscrit en thèse à l’étranger et que son terrain se déroule «chez-soi» D’autre part, il s’agit de rédiger une thèse de très bonne qualité qui pourrait donner lieu à des publications dans des revues scientifiques. Ou, les procédures de publication dans les revues scientifiques internationales sont longues, exigeantes et rigoureuses. Confronté.e aux paires, il s’agit alors d’acquérir une certaine crédibilité dans les disciplines dans lesquelles il ou elle s’inscrit.
Cependant, peu de jeunes chercheur.e.s publient dans ces revues (sollicitées ne sont pas exemptés de subjectivisme) pour des raisons de qualité des propositions. Ce défaut de qualité ou de compétitivité est dû au fait que la reconnaissance par les paires n’est pas nécessaire, soit est, soit envisagé être consultant.e.
Les exigences sont différentes, et les revenus beaucoup plus importants qu’un poste d’enseignant ou de chercheur en soi. Les revenus d’une seule mission mission de consultance correspondant à trois à quatre fois le loyer mensuel d’un enseignant à niveau d’expérience / formation égale.
L’accès au marché de la consultance étant cependant très inégal, il vaut mieux se faire un nom et se constituer un réseau au plus tôt, ce que les jeunes chercheur.es s’attèlent à faire, avant, pendant ou après la thèse, parfois au détriment de la «rigueur du qualitatif», et autres normes d’une recherche productrice de nouveaux savoirs.
Il se pose dans ce cas, un enjeu de négociation du fait des relations entre les jeunes chercheur.es et d’une partie de leurs paires (au plan scientifique) et de l’autre les commanditaires des missions d’expertise ou les responsables des programmes financés pour qu’ils / elles sont recruté.es Au cœur de cette négociation se trouve également ainsi qu’une enjeu d’adaptation importante: adaptation de ses capacités ou du contenu des résultats de ses recherches en fonction des opportunités disponibles.
L’impossible dé-liaison?
Il y a un plaisir intellectuel à s’engager dans une thèse de doctorat. Ce plaisir est obtenu plus grand lorsque son objet de recherche est porteur d’enjeux transformationnels comme c’est le cas pour les thèses en sciences sociales et santé. L’intérêt pour la santé n’échappe cependant pas à la logique du marché, et de nombreux jeunes chercheur.e.s africain.e.s se la dissidence emporter par la demande d’expertise locale, activité par ailleurs très lucrative.
Bien que cette expertise soit en soi une forme de valorisation et de reconnaissance, voire d’outil d’aide à la décision, elle brouille les frontières avec la production des savoirs éclairés, durables et généralisables. Elle affaiblit notre capacité à nous constituer en force de proposition dans les débats sur les enjeux de la science. Contributeur à développer et à mettre en œuvre des politiques de santé publique est d’une importance réelle. Cependant, cela ne devrait pas se faire au détriment d’un investissement long, actif et constant dans les procédures de collecte des données, de recherches et d’analyse documentaire, de vulgarisation et de valorisation des résultats de ses recherches. Même en situation d’intervention, le ou le jeune chercheur devrait garder en mémoire sa posture analytique et travailler à faire entendre sa voix au sein de son champ disciplinaire.

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décembre 21st, 2022 at 8:47

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