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Archive for the ‘Aviation’ Category

Drone ou avion de chasse ?

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Les drones sont de plus en plus répandus dans l’armée, et particulièrement pour effectuer des missions dangereuses. Certains sont même guidés pour tuer, avec une précision chirurgicale, qui évite ainsi les interprétations des pilotes de chasse en plein vol et sous tension. La rumeur veut que les drones se généralisent, et que les avions de chasse soient de moins en moins utilisés. Ils coûtent également moins cher qu’un avion. Alors quelle est la réalité de ces drones ? Les drones, créés pour les armées afin de surveiller et tuer à distance sans risquer la vie des soldats ou de commandos, se sont glissés subrepticement dans la vie civile, avec les drones de surveillance, des drones météo, voire même des drones à bricoler soi-même. Le gouvernement Obama les utilise beaucoup, au Yémen ou en Afghanistan, comme hier en Irak, mais reste très discret. Les drones font peur, et depuis peu, un débat naît aux Etats-Unis sur le contrôle à exercer sur ces nouvelles armes qui font aussi des victimes parmi les civils. On oublie le plus souvent que le drone militaire n’est pas programmé, que deux opérateurs le dirigent et appuient sur la mise à feu du missile, depuis parfois l’autre bout de la terre. On sait très peu de choses sur la façon dont ces pilotes à distance travaillent et ce qu’ils vivent, derrière une débauche de technologie militaire. Le pilote de drone travaille dans une pièce sombre. C’est très sombre, la seule lumière vient des écrans, il y a en a 7 en face du pilote et 7 en face de l’opérateur des capteurs. J’étais l’opérateur des capteurs. En bref, nous sommes le soutien du « pilote », pour tout ce qu’il fait, tout ce que le drone fait, je contrôle aussi la caméra du drone et je tire le rayon laser pour que le pilote puisse tirer le missile. Le laser guide le missile, on ne peut pas tirer le missile sans le laser. Les partisans des avions de chasse diront que le pilote reste celui qui apprécie la situation sur le terrain. En attendant, et sans être militaire, profitez d’une expérience extraordinaire en France en effectuant un vol en avion de chasse.

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février 20th, 2013 at 6:50

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Aviateur des temps modernes

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Un aviateur de la chasse participe avec des avions dotés d’armement offensifs à la tactique de force de frappe. La jonction des chasseurs bombardiers et des bateaux de guerre renforce la force de commandement de l’état. Le pilote de chasse collabore aussi à la protection des personnes contre la insécurité des airs. Généralement huit et quinze avions intercepteur sont apprétés continuellement à intercepter promptement tout aéronef non identifié. Pareillement, le pilote de chasse est un acteur clef des manœuvres étrangères mobilisées par le pays. Toute la mission qui lui est donnée le pilote assume sa tâche, s’assure que son appareil est efficient, maîtrise son jet pour une mission d’intervention. Une fois à l’aérogare, le chasseur produit un compte-rendu de sa charge à ses supérieurs. Chaque jour le pilote d’aéronef se consacre à l’exercice militaire. Sa mission requiert une large aptitude d’ajustement aux nouveaux aéroplanes qu’il doit maîtriser. Les pilotes militaires sont entrainés par leur escadron d’appartenance, leur apprentissage assmilant les caractéristiques liées à leur dépendance à une unité et celles assujeties à leurs avions de chasse et charges. Une portion de cet apprentissage se déroule sur simulateur de vol. Les pilotes doivent effectuer un ratio minimum d’heures de vol par an afin de maintenir leurs qualifications. Ceux qui ne voudront pas devenir pilotes peuvent faire un cadeau insolite en réalisant un baptême en avion de chasse. Eprouvez les perceptions d’un pilote d’aéronef. Ressentez les sensations durant le baptême de l’air en avion de chasse.

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mai 21st, 2012 at 7:00

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Cohésion en simulation

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Il est tout à fait réalisable de se mettre aux commandes d’ un avion de ligne en simulateur de vol professionnel. Cette pratique exceptionnelle est suivie dans un espace de qualification des pilotes à Roissy et Lyon. Ces PNC vont après travailler pour AirFrance. Les simulateurs sont des chefs d’œuvre de technicité, bougés par des vérins hydrauliques, qui répliquent parfaitement les déplacements d’un avion. Cette activité est spécialement estimée par les férus d’aviation, mais aussi par les personnes qui convoitent de découvrir le métier de pilote d’avion. Les individus sont accueillis par un pilote sur le centre d’apprentissage. Un court briefing de trente minutes est dispensé puis commence la séance de simulateur de vol. Le participant peut élire son lieu de départ et son aéroport d’arrivée.

Il pourra encore recréer la majorité des conditions météo avec les pannes qui peuvent se passer en volant. Les fans d’aviation s’en donnent à cœur joie. Cependant comme les personnes qui ont peur en avion. Quelques personnes ont peur en avion du fait d’une mauvaise expérience de vol. Certains ont ressenti des conditions climatiques fortes, comme des situations plus insupportables telle qu’ être touché par la foudre pendant le vol, ou aussi une perte moteur. Toute expérience durant le vol éprouvante déclenche une phobie du prochain avion. Avec le but de se battre contre cette crainte et cette peur en avion. Les simu sont utilisés par les psychologues pour présenter des cours antistress pour résister contre la phobie de l’ avion. Ces stages sont individualisées et dispensés à l’individu pour une totale efficacité. Le stage de trois h permet au prétendant d’assimiler l’aérodynamique d’un boeing et de se placer en situation, directement aux commandes d’un avion de ligne. Entraindé d’un psychologue, l’individu aborde ses paniques afin de mieux les comprendre et les dominer.

Les simu conseillés sont des simu Airbus et simulateurs Boeing. La diposition de piloter l’Airbus et le Boeing sont originales. La technicité de pilotage Airbus est centrée sur le joystick – vous créez une impulsion sur le manche et l’avion va maintenir l’attitude qui vient de lui être établi, sans maintenir l’angle d’attaque sur le manche. Ceci peut être parfois dérangeant pour un individu. Au contraire, le simulateur Boeing garde une sensation de vol classique. Le joystick est normal, et il convient de continuer l’angle d’attaque sur le manche à balai pour conserver l’angle d’attaque ou l’attaque de l’avion. Pour avoir de l’altitude, vous tirez sur le joystick, et il faut maintenir cette attitude pour continuer à s’élever. Au contraire sur le simu Airbus, vous donnez un angle d’attaque de hausse, et il est possible de lâcher le joystick. L’appareil prolonge sa grimpée. Afin de rétablir l’équilibre, vous devrez alors agir sur le manche pour recouvrer l’aplomb originaire. Il n’y a pas de choix idéal pour votre simu, tout dépend des souhaits des individus. De toutes manières, la pratique en simu professionnel est exceptionnelle.

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janvier 9th, 2012 at 5:10